• Frontiscipe
    • INTRODUCTION
    • ABRÉVIATIONS BIBLIOGRAPHIQUES
    • 1177. BONAVENTURA VULCANIUS A BÈZE
    • 1178. BÈZE A CHRISTOPHE F ABRI
    • 1179. GWALTHER A BÈZE
    • 1180. BÈZE A DÜRNHOFFER
    • 1181. BÈZE A DÜRNHOFFER
    • 1182. BÈZE A ANDREAS STEPHAN
    • 1183. OLEVIANUS A BEZE
    • 1184. BÈZE A DÜRNHOFFER
    • 1185. GWALTHER A BÈZE
    • 1186. GWALTHER A BÈZE
    • 1187. BÈZE A DÜRNHOFFER
    • 1188. BÈZE A HARDESHEIM
    • 1189. BÈZE A DÜRNHOFFER
    • 1190. BÈZE A GWALTHER
    • 1191. BÈZE A JACOB GRYNAEUS
    • 1192. BÈZE A GWALTHER
    • 1193. BÈZE A GUILLAUME DE NASSAU, PRINCE D’ORANGE
    • 1194. BÈZE A THOMAS VAN TIL
    • 1195. GWALTHER A BÈZE
    • 1196. PINCIER Sur Johannes Pincier, pasteur de Wetter (en Hesse-Nassau), près de Marbourg, voir supra t. V, p. 51, n. 5 ; t. X, p. 59, n. 1. Sa précédente lettre à Bèze est du 13 septembre 1571 : t. XII, p. 177s. A BÈZE
    • 1197. BÈZE A DÜRNHOFFER
    • 1198. GWALTHER A BÈZE
    • 1199. SIMLER A BÈZE
    • 1200. BÈZE A GWALTHER
    • 1201. BÈZE A ERIC MYLAEUS [= HEINRICH MÖLLER Il est impossible de lire autre chose que "D. Erico Mylaeo" en tête de la copie de cette lettre conservée dans les Epistulae haereticorum de la bibliothèque Sainte-Geneviève. Mais on ne trouve aucun Eric Mylaeus dans les répertoires et dictionnaires. Or ce Mylaeus doit être l’auteur d’un commentaire sur les Psaumes (voir infra n. 5), habiter l’Allemagne, et être menacé par la répression anti-calviniste. Par ailleurs, nous savons que Bèze goûtait fort l’Ennaratio Psalmorum de Heinrich Möller (que le Genevois connaissait au moins depuis 1572 par Languet : voir supra t. XIII, p. 40 et n. 5) : il le dit en effet dans sa lettre du 7 octobre 1575 à Dürnhoffer (supra t. XVI, n° 1165, p. 223 et n. 6), et le 12 janvier 1576 il écrit au même Dürnhoffer qu’il a bien reçu les commentaires de Möller (supra n° 1180 et n. 10). Mylaeus est donc un pseudonyme pour Möller, dont il est la forme grecque (Möller, μυλαῖος, le meunier). On connaît d’ailleurs d’autres cas semblables au XVIe siècle : ainsi l’imprimeur strasbourgeois Kraft Müller (l’équivalent de Möller) signait "Crato Mylius". – Bèze a eu recours à ce pseudonyme pour entourer sa lettre de discrétion et pour ne pas compromettre son correspondant, de même qu’il a parfois appelé Hardesheim "Hessiander". – Enfin nous savons que Möller a bien reçu la présente lettre de Bèze, car le 8 octobre 1576 il en parle dans une lettre à Monau (voir infra n. 2).]
    • 1202. GWALTHER A BÈZE
    • 1203. BÈZE A GWALTHER
    • 1204. BÈZE A GWALTHER
    • 1205. BÈZE A DUDITH
    • 1206. BÈZE A DÜRNHOFFER
    • 1207. BÈZE A J.-J. GRYNAEUS
    • 1208. BÈZE A BONAVENTURA VULCANIUS
    • 1209. GWALTHER A BÈZE
    • 1210. [BÈZE] A [TURENNE ?]
    • 1211. BÈZE AU LANDGRAVE GUILLAUME DE HESSE
    • 1212. VULCANIUS A BÈZE
    • 1213. BÈZE A DÜRNHOFFER
    • 1214. BÈZE A DÜRNHOFFER
    • 1215. JEAN DE GLAUBURG LE JEUNE Sur Jean de Glauburg le Jeune, patricien de Francfort, voir supra t. XII, p. 84s. et 174s., et en dernier lieu supra t. XVI, p. 104 et n. 7. A BÈZE
    • 1216. BÈZE A ANDREAS STEPHAN
    • 1217. BÈZE A GWALTHER
    • 1218. VULCANIUS A BÈZE
    • 1219. PETER YOUNG A BÈZE
    • 1220. GWALTHER A BÈZE
    • 1221. JEAN HAREN Il s’agit là de l’unique pièce conservée de la correspondance entre Bèze et Jean Haren. Ce dernier, sur lequel voir Biographie Nationale de Belgique, t. VIII, 1884-1885, p. 723, et France prot., t. V, p. 429, ainsi que les pages que lui consacre F.W. Cuno, Franciscus Junius der Ältere, Amsterdam, 1891, p. 103-115, naquit à Valenciennes autour de 1540. Il était fils d’un riche marchand exécuté comme hérétique et rebelle au roi d’Espagne en 1568. Dans son ouvrage intitulé Brief discours des causes justes et equitables qui ont meues M J. Haren, jadis ministre, de quitter la R P R...., Anvers, 1586, dont nous avons pu consulter la traduction allemande, Ingolstadt, 1587 (Bekehrung deß Wolgelehrten unnd Fürnemen Herm Joannis Harenii, VD16, H 579), Haren affirme être né et avoir été baptisé dans l’Eglise catholique, mais avoir été élevé dans des écoles protestantes (Bekehrung, p. 11). On peut penser que ce fut à Genève, bien que son nom n’apparaisse pas au Livre du Recteur genevois ; la manière dont il s’adresse à Bèze rend en effet la chose tout à fait plausible ("l’affection paternelle que me portez"). Haren dit ensuite dans sa Bekehrung avoir été consacré pasteur par les réformés les plus notoires, et avoir pratiqué son ministère pendant dix-huit ans (sans doute de 1568 à 1586), soit dans des villes, soit auprès de grands seigneurs. C’est sans doute la période la plus mal connue de son existence. Une lettre écrite par le pasteur de Sainte-Marie-aux-Mines, P. Bachelé, en 1643, retrace l’histoire de cette Eglise. On peut y lire :" M. Jean Harang fut appellé [...], l’an 1570 ; il estoit auparavant à la dame de Malbert, où il servit quelque temps ; il se porta icy courageusement, et fut employé à ériger l’Eglise du Bonhomme qui est un village de ce voisinage, mais à ce subject fut contraint d’abandonner cette vallée..." (Bulletin t. I, 1853, p. 163). La "dame de Malbert" est très probablement Elisabeth de Merode, veuve depuis 1568 de Bernard de Malbergh, grand seigneur luxembourgeois, signataire du Compromis des nobles, sur lequel voir supra t. X, p. 117 et n. 3. Haren aurait donc été l’aumônier de la veuve de Bernard de Malbergh, réfugiée à Strasbourg, entre 1568 et 1570, avant d’occuper un poste de diacre à Sainte-Marie (voir aussi M. J. Bopp, Die evangelischen Geistlichen und Theologen in Elsaß und Lothringen von der Reformation bis zur Gegenwart, Neustadt a. der Aisch, 1959, t. I, p. 228, n° 2112, où notre homme apparaît sous le nom de Héran, et comme originaire de Valence, au lieu de Valenciennes). Dans notre lettre, Haren indique qu’il fût l’aumônier de Jean-Casimir du Palatinat dans la campagne que ce prince fit en France en 1576 (voir plus bas n. 10). Jusqu’en 1578, il fut probablement prédicateur de l’Eglise wallonne de Dordrecht, avant d’être appellé à Bruges, contre l’avis d’une partie des paroissiens, mais grâce à l’appui de Charles de Croy, fils du comte d’Arschot et protecteur des Réformés (Cuno, op. cit., p. 104). C’est bien à titre de représentant de l’Eglise de Bruges qu’il participa au synode de Vitré en mai 1583 (Aymon, t. I, p. 157, et Bekehrung, p. 19). Il semble avoir été entraîné par le parti d’Arschot à des manœuvres contre Guillaume d’Orange. Lorsque Bruges tomba en mars 1584 aux mains des Espagnols, Haren s’enfuit, mais Orange le fit emprisonner, et il fut excommunié en 1584 par le synode de Delft. Il se rendit à Anvers, puis à Cologne, où il se convertit au catholicisme, et publia en 1586 le Brief discours mentionné plus haut Cet écrit suscita une réponse de François Du Jon : Admonition chrestienne de F. Dujon...respondante aux fausses doctrines.... de Jean Haren, s. 1. 1586 (Cuno, op. cit., p. 107-109, et 246). Il occupa ensuite le poste de secrétaire de la duchesse Antoinette de Juliers et lui dédia les Treize catecheses contre Calvin et les calvinistes, Nancy, 1599. Il publia en outre la même année et également à Nancy la Profession catholique de Jean Haren, et l’Epistre et demande chrestienne de Jean Haren à Amb. Wille, ministre des estrangers wallons retirez en la ville d’Aix-la-Chapelle. On lui attribua de plus la publication en 1602 d’un libelle accusant les princes protestants de toutes les vilenies possibles, ce qui lui valut sept années de prison, au sortir desquelles il retourna au protestantisme, assez froidement accueilli en Zélande. Malgré la publication de la Repentance de Jean Haren et son retour en l’Eglise de Dieu, publicquement recitee en l’eglise wallonne de Wesel, La Haye, Loys Elzevier, 1610, il n’obtint pas de poste pastoral. Il fit certains travaux à titre de secrétaire de l’Électeur de Brandebourg, ce qui ne le nourrissait semble-t-il pas, puisque le synode de Dordrecht de 1611 lui accorda un secours de 100 thalers. On ignore la date de sa mort, et s’il finit ses jours en Alsace ou en Hollande. A BÈZE
    • 1222. GUILLAUME IV, LANDGRAVE DE HESSE-CASSEL, A BÈZE
    • 1223. BÈZE A GWALTHER
    • 1224. GWALTHER A BÈZE
    • 1225. GWALTHER A BÈZE
    • 1226. BÈZE A GUILLAUME IV, LANDGRAVE DE HESSE-CASSEL
    • 1227. BÈZE A DÜRNHOFFER
    • 1228. URSINUS A BÈZE
    • 1229. BÈZE A GWALTHER
    • 1230. [BÈZE] A DÜRNHOFFER
    • 1231. [BÈZE] A DÜRNHOFFER
    • PIÈCES ANNEXES
      • I L’ÉGLISE DE CHIAVENNA AUX PASTEURS DE ZURICH ET DE GENÈVE
      • II NOTICE DE J[ACQUES] M[ONAU] ANNEXÉE A L’ÉDITION DE THÉODORE DE RAÏTHOU PAR BÈZE, 1576
      • III FRÉDERIC III, ÉLECTEUR PALATIN, A HOTMAN OU BÈZE
      • IV L’ÉLECTEUR PALATIN, FRÉDERIC III, A MESSIEURS DE GENÈVE
      • V BÈZE, AU NOM DE LA COMPAGNIE, A L’EGLISE DE BERNE
      • VI BÈZE, AU NOM DE LA COMPAGNIE, A L’EGLISE DE ZURICH
      • VII GWALTHER, AU NOM DE L’EGLISE DE ZURICH, AUX PASTEURS DE GENÈVE
      • VIII NOTICE APPOSÉE A LA SECONDE PARTIE DES QUAESTIONES ET RESPONSIONES DE BÈZE 1576
      • IX HENRI DE LA TOUR D’AUVERGNE, VICOMTE DE TURENNE, A MESSIEURS DE GENÈVE
      • X BÈZE AUX PASTEURS ET PROFESSEURS DE HEIDELBERG
      • XI PIERRE BOQUIN, AU NOM DE L’EGLISE DE HEIDELBERG, AUX PASTEURS DE GENÈVE
      • XII ÉPITAPHE DE BÈZE POUR SIMLER
      • XIII VERS DE JOHANNES MAJOR CONTRE BÈZE
    • ADDENDA ET CORRIGENDA DES TOMES PRÉCÉDENTS
      • TOME VI
      • TOME VII
      • TOME IX
      • TOME X
      • TOME XIII
      • TOME XIV
      • TOME XV
      • TOME XVI
    • INDEX DES NOMS DE PERSONNES ET DE LIEUX DU TOME XVII
    • TABLE DES MATIÈRES
Correspondance. Tome XVII, 1576
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Pour citer ce chapitre :

de Bèze, Théodore.
Chap. « Page de titre () » in Correspondance. Tome XVII, 1576.
Ed. Reinhard Bodenmann et al..
Genève: Librairie Droz, 1994
9782600000253

Pour citer un extrait :

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Travaux d’Humanisme et Renaissance
CCLXXXVI
Société du musée historique de la Réformation
THÉODORE DE BÉZE
CORRESPONDANCE
Tome XVII (1576)
recueillie par Hippolyte Aubert
publiée par Alain Dufour, Béatrice Nicollier et Reinhard Bodenmann
LIBRAIRIE DROZ
11, rue Massot
GENÈVE
1994
Copyright 2013 by Librairie Droz S.A., 11, rue Massot, Genève.
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