INTRODUCTION RABELAIS ET LES LUTTES DE SON TEMPS : SCOLASTIQUE, HUMANISME, RÉFORME
I. « LE TEMPS ESTOIT ENCORE TENEBREUX, ET SENTANT L’INFELICITE ET CALAMITE DES GOTHS » : RABELAIS, LE MYTHE DE LA RENAISSANCE ET LA « RESTITUTION DES BONNES LETTRES ». LA FAUSSE OPPOSITION ENTRE LE MOYEN AGE ET LE XVIE SIECLE : TENEBRES-LUMIERE, BARBARIE-CIVILISATION, IGNORANCE-SAVOIR, COLLECTIVITE-INDIVIDU, ARISTOTE-PLATON, SCOLASTIQUE-HUMANISME, ETC.
II. « ET HOC SIT CUNCTIS UNICUM STUDIUM, SOLATIUM, DESYDERIUM : SCIRE EVANGELIUM, SEQUI EVANGELIUM, UBIQUE PROMOVERE EVANGELIUM ». LE MOUVEMENT « ÉVANGÉLIQUE » : LEFÈVRE D’ÉTAPLES, BRIÇONNET, ÉRASME, MAROT, BERQUIN, MARGUERITE DE NAVARRE. LE ROLE DES IMPRIMEURS. LA RENAISSANCE COMME SOIF DE LA PAROLE DE DIEU.
III. L’OPPOSITION SCOLASTIQUE-HUMANISME : UNE BATAILLE DES ARTS DU DISCOURS : DIALECTIQUE, GRAMMAIRE ET RHETORIQUE. PERENNITE D’ARISTOTE : SA SURVIE AU XVIIE SIECLE. « QUANTO ERIS MELIOR GRAMMATICUS, TANTO PEIOR DIALECTICUS » : CONTRE LES « PSEUDO-DIALECTICIENS ». PHILOSOPHIE ET THEOLOGIE. L’« USUS COMMUNIS LOQUENDI ».
IV. Plaidoyer en faveur de la scolastique et des « hommes obscurs » : l’agression humaniste..« Tota philosophia Græcorum præ Philosophia Christi somnium est ac nugamentum […] Litteras amas, recte, si propter christum » : Faiblesses, ambiguïtes et contradictions de la pensee et de la strategie humanistes. Faussete et mauvaise foi de tous les affrontements culturels et ideologiques.
V. Exemplarité de rabelais : genus demonstrativum et Vituperatio. « …et au rebours enfanta Amodunt et Discordance par copulation de Tellumon » : Humanisme et barbarie. rabelais, L’agon, et les Goths. La culture selon Rabelais et érasme : le couple père-fils (« ad similitudinem suam »), L’abbaye de Thélème : un monde qui exclut, et un monde clos.
CHAPITRE PREMIER LIRE RABELAIS
I. « …doubtant que pour contentement propensé, je rencontre ce que je abhorre. […] en lieu de les servir je les fasche, en lieu de leur complaire je des plaise » : Rabelais paillard, populaire, et obscène, « bien yvre » et « gabeur » ? ou « utile-doux » et « docte » Rabelais ?
II. « …si le Prince le veult et commende, cil qui en commendant ensemble donne et pouvoir et sçavoir » : L’« estrange nativité » de Pantagruel : une commande de librairie. Claude Nourry, Olivier Arnoullet et les chroniques gargantuines. Rabelais et ses lecteurs : histoire d’un malentendu.
III. Plaidoyer pour la recherche historique : le texte et son contexte. Premier exemple : « Agentes et consentientes / c’est a dire / qui n’a conscience n’a rien ». Rabelais, les Brocardia juris et la nécessaire « reverence de l’antiquaille ». Alcofrybas casuiste : « Ecce qui tollit peccata lectoris ».
IV. Plaidoyer pour l’histoire et la recherche historique. Second exemple : « a quoy il prenoit plaisir, comme Demosthenes, prince des orateurs grecs faisoit ». Rabelais, les agelastes et autres buveurs d’eau. Le refus humaniste de la « vana gloria » : « Leviculus sane noster Demosthenes » Pantagruel et Ortuinus Gratius.
CHAPITRE II PANTAGRUEL ET LES SOPHISTES
I. Le Pantagruel : une « enseigne exteriore » inattendue. du « petit dyable » des Mystères au bon géant de Rabelais. L’Hercule gaulois : Lemaire de Belges et annius de Viterbe. Evolution de notre discours critique : de la condescendance d’hier à la gratitude d’aujourd’hui. Pantagruel et « L’année des grosses mesles ».
II. Rabelais créateur : du grammairien à l’architecte. L’archaïsation du style. les modèles textuels : l’épopée classique ; la vita du mage et du saint, le Nouveau Testament. « Ordre sourd » et bilan thématique. Importance de la « disputatio » scolastique. L’affrontement exemplaire du Sage et du Sophiste. « Peithôs » et « Aletheia ».
III. « Dialecticus proponit, diabolus concludit » : l’histoire de Gorgias, de Socrate a Diderot. Résistances et agon : le Metalogicon de Jean de Salisbury. Triomphes scolastiques : de la « Logica vetus » a la « Logica nova » ; les Summulæ logicales de Pierre d’Espagne et la « logica modernorum ». Ramus et la dialectique.
IV. « …Car il les faisoit tres bien in modo et figura, mais il ne les pouvoit souldre ». Le cas Gargantua : sophiste, rhéteur et poète. Tensions entre nature et culture : « comme un crapault de plumes ». Dimension parodique du chapitre. Raison et affect. L’épisode des torcheculs. Le savoir comme marotte.
V. « Sophistes, Sorbillans, Sorbonagres, Sorbonigenes, Sorbonicoles, Sorboniformes … » Le cas de l’écolier limousin : fastuosum, & vultu tetrico philosophum agentem. Les antécédents : « l’escumeur de latin » et « Teste creuse ». Le limousin et l’écolier. L’adage ex academia venis. Dimension satirique de l’épisode. Fécondité et massacres.
CHAPITRE III L’ITINÉRAIRE DE PANTAGRUEL
I. Pantagruel et Gorgias. Les neuf mille sept cent soixante quatre thèses « in omni re scibili ». L’omniscience, attribut caractéristique du sophiste. L’humaniste face au problème du savoir : l’exemple de Vives et de Rabelais : « non glorietur sapiens in sapientia sua ». Socrate : inscience et connaissance de soi.
II. Définitions de la sophistique et du sophiste, d’aristote a Pierre d’Espagne : « apparens et non existens sapientia » ; « magis appetit videri sapiens, et non esse, quam esse et non videri ». Les quatre types de syllogisme. Les différents types de « fallacia ». La sophistique : technique de persuasion, art du mensonge et du paraître.
III. De Gorgias a Socrate : l’itinéraire de Pantagruel. La défense du « mos gallicus » et le refus de l’engagement dans le siècle. La substitution Panurge-Pantagruel : le sophiste comme « imitateur du sage » ; dimension subversive et politique de cette imitation chez panurge. « Non pas l’honneur et applausement des hommes, mais la verité seule ».
IV. Pantagruel, Picus redivivus. 1) Présence littérale de Pic dans le Pantagruel : les neuf cents conclusions romaines. La dispute par les nombres. Pic et la « religieuse caballe ». Deux naissances prodigieuses. Deux éducations identiques. Le mythe du voyage initiatique , « more Platonis & Apollonii ». d’Apollonius a Pantagruel : Échos et parallélismes.
V. Pantagruel, Picus redivivus. 2) les « conclusiones nongentæ » et leur importance dans la vita de Pic. l’apologia : réponse à un acte d’accusation. Pic sophiste et champion de la philosophie scolastique. Ses reniements vus par Thomas More : les livres de poésie érotique ; le refus des disputes et des honneurs du monde. Deux destins parallèles.
VI. Les vitæ de Pantagruel et Pic : deux paraboles de l’Humanisme chrétien. Budé et les dangers de l’ « Hellenismus ». Lefèvre d’Étaples, Aristote, et le service de la Parole de Dieu. Érasme : de la « paganitas » a la « philosophia christi ». L’Humanisme : un choix entre « Dame Simplicité » et « Dame Curiosité ». Croire plutôt que comprendre.
CHAPITRE IV UNE RENCONTRE HOMERIQUE : ULYSSE, PANURGE ET LES « ADVENTURES DES GENS CURIEUX »
I. Le dilemme Panurge : est-il bon ? Est-il méchant ? Ambiguïté du personnage. Ses antécédents littéraires, de Renard a Villon. Πανουργος et Πανουργία dans le Grec de l’ancien et du Nouveau Testament ; dans les dictionnaires classiques : Chéradame, Suidas, Budé, Tusanus : « qui omnia facitin improbitate » ; « qui omnia novit ».
II Homère, Virgile et Rabelais. Le premier chapitre ix : difficultés d’interprétation. Les sous-textes bibliques. Le soustexte homérique : Panurge et Ulysse. Les questions : « quis ? Cujus est hominum ? Ubi tibi urbs et parentes ? ». Le ventre et sa tyrannie. Πολύτλας διος Ơδυσσεὺς — cicéron, platon : Ulysse et la « vana curiositas ».
II. Rabelais et le jeu. Les chapitres viii-x de l’édition Nourry. l’épisode des turqueries : Panurge aretalogus et la tradition de l’ Ảλκίνου ἀπoλoγoς Ulysse le menteur. « Cretensis Cretensem ». Juvénal et la « Graecia mendax ». LaVera historia de Lucien. « Velocia verba » : pouvoirs de la fiction. « Qualis Odysseus, talis Panoûrgos ».
IV. Un héritage encombrant. Les fortunes d’Ulysse, d’Homère à Dante : Callidus et vafer, ou sapiens et prudens ? La tradition romanesque ; Calepinus ; le cas Budé : de l ’« Ilias malorum » a l ’« errorum Odyssea ». Ulysse « scelerum inventor ». L’adage « Ulysseum commentum ». « Curiositatem in fidelibus Scriptura improbat ».
CHAPITRE V PANURGE, EMPÉDOCLE ET LA « VANA GLORIA » : SAPIENTIA ET SCIENTIA , SAGESSE DU MONDE ET SAGESSE DE DIEU DANS L’ŒUVRE DE RABELAIS
I. Humanisme et scepticisme chrétien. La dialectique monde-dieu et sa résolution. La « docte ignorance » et le mythe de uidiota. Agelaste et glorieux Empédocle. Budé et les curiosi homines. Fixité du code culturel humaniste. Réflexions cratyliques. Pantagruel, Panurge et les trois concupiscences.
II. La Renaissance et l’Humanisme. Survivances du mythe. La Lettre de Gargantua a Pantagruel. Le Microcosme de Maurice Scève. Les deux discours de l’époque : rationaliste et positiviste ; sceptique, fidéiste et anti-intellectualiste. La dialectique monde-dieu au XVIEsiècle. Le scepticisme chrétien.
III. Pantagruel et Panurge. Importance cruciale des deux chapitres ix de l’édition Nourry. L’Humanisme chrétien : sa grandeur, ses faiblesses et ses incertiudes ; son échec historique. Rabelais et son dilemme : éthique et politique. Sagesse du monde ou sagesse de Dieu ?
IV. De Pantagruel au Tiers Livre. Une « prosopopée » symbolique : de la « braguette » guerrière au « bureau » de « mesnaige ». anarche, Picrochole, Panurge et la mise a mort du vieux roi de carnaval. Le pouvoir et les dettes : l’équivalence peccata / debita chez Luc et Matthieu. Les mariages de Panurge, et son mariage. Sagesse et folie chez Rabelais.
CHAPITRE VI LE GARGANTUA : AUTEUR, LECTEUR ET ALTIOR SENSUS
I. Le Gargantua : un livre difficile a interpréter. Narrateur et Narration : le mariage des opposites. Comique et sérieux. Ecriture et idéologie : prédominance du créateur de fiction sur le militant évangélique. « Opposita, juxta se posita, magis elucescunt ». Rabelais et les luttes de son temps. Le problème du « réalisme » de Rabelais.
II. Le Prologue du Gargantua : Anciens et Modernes. Univocité ou pluralité ? « Si ne le croyez, quelle cause est pourquoy … » : une dualité prétendue ; une « captatio lectoris » sans ambiguïté. L’utile-doux Rabelais. La fausse opposition rire-sérieux. Stratégies liminaires. Herméneutique et éthique. Inadéquation des lectures dites « modernes ». Langage et littérature.
III. De l’auteur au lecteur : un « tranfert conscient de responsabilité ». Rabelais et l’allégorèse. L’épisode des cloches de Notre-Dame : du folklore a l’histoire. La lettres de Pierre Siderander. Noël béda et les « beaulx placquars de merde ». « Omnia in figura ». Une attaque frontale contre la faculté de théologie. Rabelais satirique.
CHAPITRE VII RABELAIS ET SON MASQUE COMIQUE : SOPHISTA LOQUITUR
I. Fiction et sophisme. Le narrateur Alcofrybas Nasier : un personnage fictif. Son rôle dans le Pantagruel : face à Panurge ; son odyssée dans la bouche du géant. Son rôle dans le Gargantua : une présence indiscrète et envahissante. Alcofrybas et Panurge : deux personnages identiques ; magiciens de parole ; auteurs et « gendelettres » ; châtelains ; polymathes.
II. Le Gargantua, lieu de la liquidation du Sophiste. Alcofrybas : « le style, c’est l’homme ». Un topiqueur scolastique et omnisciens. Autorité de la chose écrite. Rire et sérieux dans le Gargantua. le savoir du sophiste : accumulation et mystification. Saint paul et les « moderni » sorbonniques : la foi vécue et la foi définie (Gargantua, Chapitre v ).
III. Alcofrybas et la science de l’héraldique : Gargantua, viii et ix. Le cadre parodique et lyonnais. Le blason des couleurs d’olivier arnoullet : La question de l’anonymat ; la signification des couleurs blanc et bleu. Le blason des armes de Claude Nourry , « dict le prince ». Alcofrybas et la contingence du signe. Bartole. L’inanité du savoir humain.
IV. Les dates de composition et de publication du Gargantua Épisodes dont la composition peut être datée avec certitude : le blanc et le bleu (début 1533) ; les cloches de Notre-Dame (juin-juillet 1533) ; l’énigme en prophétie (fin 1533-début 1534). L’archaïsation du style.
I. Gargantua , VIII-IX : le blanc et le bleu (fin 1532-début 1533).
II. Gargantua, XV-XIX : les Cloches de Notre-Dame, et celles de Sorbonne (juin-juillet 1533).
III. Gargantua , LVI : l’« Enigme en prophetie » (fin 1533-début 1534).
IV. L’archaïsation du style et Alcofrybas Nasier.
CHAPITRE VIII RABELAIS, LE QUART LIVRE ET LA CRISE GALLICANE DE 1551 : SATIRE ET ALLÉGORIE
I. La genèse du quart livre. Une œuvre longuement méditée et construite. Lenteurs de la composition. Le médecin et le diplomate. L’écrivain et la censure sorbonnique ; un « hésuchisme » prétendu. Le cas Clément Marot. La publication du Tiers Livre et la Fuite à Metz. Un homme en colère.
II. La publication de l’édition dite « partielle » du Quart livre de 1548 : une déclaration de guerre aux « calumniateurs de ses escripts ». Le psaume cxiv et les « diables engiponnez ». Circonstances de cette publication : de Metz à Rome. Ses conséquences : Gabriel du Puy-Herbault et Jean Calvin. L’épître liminaire du 28 janvier 1552 : Rabelais contre Rome et genève.
III. Rabelais l’anti-moine. Pantagruel et Gargantua : un anticléricalisme viscéral. Les trois séjours à Rome : « la grande prostituée », spelunca latronum. Henri II et Jean du Bellay. La Sciomachie (1549). La crise gallicane de 1551. Charles Du Moulin. Rabelais satirique : prophète et « publiciste royal ».
IV. Violences, haines et exclusions du Pantagruélisme Rabelais polémiste. la fable et l’allégorie ; leur rôle dans la fiction. Rabelais architecte : une prétendue « fiction en archipel » ; contre la « lecture topographique » ; pour une « lecture cosmographique ». Cohérence et unité d’intention : L’exemple du Tiers Livre : la lecture d’edwin duval.
V. Cohérence et dispositio du Quart Livre : Le schéma 33-1-33. Remarques numérologiques : le 3 et le 7 ; le 14 et le 78. Rôle de L’Écriture sainte : transcendance, et référence constante. L’exemple des Papimanes. Une œuvre univoque. de medamothi à Ganabin : la Montée vers l’horreur ; l’apparition du monstre. échec de la quête : Panurge et le « sapphran d’Hibernie ».
V. L’architecture concentrique du Quart livre : du mouvement à la répétition : une navigation apparente. L’exemple de Papefi-guière et de Papimanie ; des Andouilles et de Quaresmeprenant. Gastrolâtres et engastrimythes. L’île des « voleurs & larrons ». Le combat contre le physetere et sa signification symbolique.
CHAPITRE IX DU MYTHE DES « PAROLES GELÉES » A L’ÎLE DES « VOLEURS & LARRONS » : RABELAIS ET LE « SYMBOLISME POLÉMIQUE »
I. L’épisode des paroles gelées dans son contexte : une « consistance surprenante » (M. Jeanneret). Homenaz et les dangers du littéralisme. « Non selon la lettre, mais allegoricquement ». Gaster : le règne de la tripe et de la merde. Le Quart livre comme exode ; constat, acte d’accusation, et refus.
II. L’Épisode des paroles gelées. Une querelle a la Spitzer : Saulnier, Screech et la lecture de Jeanneret : parole « morte » contre parole « vive » et « libre ». critique et polémique. La distinction vox/sonus et ses conséquences : herméneutique et épistémologie. Pantagruel et Moïse. Rabelais et sa « Démarche réductrice ». La Lettre et L’Esprit.
III. Rabelais au large de Ganabin. La lecture « parisienne » de Saulnier : « vitiosa est allegoria cui repugnat sensus rectus ».Le Châtelet et la Conciergerie. La Fontaine des innocents. Les Potences, les gémissements et les tortures. L ’« Hésuchisme »de rabelais. Allégorie et « symbolisme polémique ».
IV. Rome-Ganabin. Le Quart Livre , « Satire sanglante du pape ». Fures & Latrones (Jean, 10). La Spelunca Latronum de l’Écriture (Matth., 21.13). Le Capitole , « Hault rochier à deux crouppes ». L'Asylum de Romulus et L’Improborum Civitas de Philippe. Pétrarque et le « mont antiparnasse ». « Antioche la neufve » : « ville des meschans », repaire d’assassins, usurpatrice de la Jérusalem céleste.
EPILOGUE DISCOURS SUR LES DISCOURS : LA PLANTE ET LE JARDINIER
ÉLÉMENTS DE BIBLIOGRAPHIE RABELAISIENNE
I. INSTRUMENTS BIBLIOGRAPHIQUES ; OUVRAGES DE RÉFÉRENCE ; OUTILS DE TRAVAIL
II. PRINCIPALES EDITIONS CRITIQUES DES ŒUVRES DE FRANÇOIS RABELAIS
A. ÉDITIONS COLLECTIVES :
B. ÉDITIONS SÉPARÉES :
III. PRINCIPALES ÉTUDES CRITIQUES (LIVRES ET ARTICLES) SUR L’ŒUVRE DE RABELAIS
A. REVUES ET OUVRAGES COLLECTIFS :
B. OUVRAGES CRITIQUES :
IV. OQUE ET LE CONTEXTE : SCOLASTIQUE, HUMANISME, RÉFORME
A. CITADELLE SCOLASTIQUE :
B. MILICE HUMANISTE :
C. RAGES HISTORIQUES ET CRITIQUES :
INDEX NOMINUM
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Pour citer ce chapitre :
Defaux, Gérard.
Chap. « Page de titre () » in Rabelais agonistes : du rieur au prophète. Etudes sur "Pantagruel", "Gargantua" et "Le Quart Livre".
Genève: Librairie Droz, 1997
9782600002028
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TRAVAUX D’HUMANISME ET RENAISSANCE
CCCIX
GÉRARD DEFAUX
Rabelais
agonistes
: du rieur au prophète
Etudes sur Pantagruel, Gargantua, Le Quart Livre
LIBRAIRIE
DROZ S.A.
11, rue Massot
GENÈVE
1997
Copyright 1997 by Librairie Droz S.A., 11, rue Massot, Geneve.
Version numérique : Copyright 2014 by Librairie Droz
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