Un Quercinois de bonne bourgeoisie, un protecteur en vue
La publication des Amours (1553) : qui était Castianire ?
Un nouveau protecteur : Jean de Saint-Marcel
Le voyage d’Italie, l’étape de Lyon (1554-1556)
Dans la lignée de Du Bellay* : Les Souspirs (1557)
L’ultime recueil : les Odes (1559)
Apogée de carrière, mort obscure (1559-1561)
Un émouvant reliquat : la découverte des derniers sonnets inédits de Magny
MARC DE MAILLIET (v. 1568 – v. 1628)
Un « Perigourdin » de Bergerac
Un personnage « rustique et sauvage » chez la reine Marguerite (1605-1615)
Les Poësies… (1611-1612 et 1616)
Les Epigrammes de M. de Mailliet… (1620)
Un faux miséreux amateur de bonne chère
SIEUR DE MAILLY (actif vers 1560)
Un personnage mystérieux, des erreurs d’identification
Un unique recueil ad usum amicorum : L’Amaranthe du Sieur de Mailly (vers 1560)
JÉRÔME L’HUILLIER DE MAISONFLEUR (v. 1535/1540 ? – 1579)
L’identité longtemps mal établie d’un gentilhomme réformé et bordelais
Officier et poète : les débuts de Maisonfleur
Un courtisan passé au protestantisme, un diplomate en mission secrète (1572-1573)
La fin d’un homme d’épée
Les Cantiques de Maisonfleur
Les œuvres non imprimées
ROGER MAISONNIER (v. 1535 – av. 1587 ?)
Origines et études d’un jeune Poitevin
Maisonnier et le « cénacle de Poitiers » : rimes croisées (1553-1557)
La Satire de Maisonnier : une première dans la littérature française (1557)
Une existence mystérieuse
FRANÇOIS DE MALHERBE (1555 – 1628)
Le futur pourfendeur de la Pléiade en 1575
Une éducation protestante
Au service du chevalier d’Angoulême*
Un beau mariage
Retour en Normandie
Les Larmes de Sainct Pierre : un poème baroque ?
Voyages et chagrins
Premier succès
Paris, à nous deux !
Le courtisan amoureux, serviteur des amoureux
Portrait de Malherbe en Aristarque
Le règne de Louis XIII : derniers succès, dernières douleurs
GEOFFROY DE MALVYN (v. 1545 – 1617)
Une très ancienne famille gasconne
Enfance et difficiles débuts de carrière (1569-1573)
Un jeu naturel de promotions (1573-1576)
Des missions ingrates (1580-1581)
Une position de sage (1592-1602)
Les dernières années (1601-1617)
La Gallia Gemens…, un ouvrage poétique de jeunesse (1563)
Aux vivants et aux morts : amitiés littéraires et pièces éparses de Malvyn
MAURICE DE MARCIS (v. 1509 – apr. 1565)
Une ancienne famille de la bourgeoisie bordelaise
Une carrière parlementaire
Un humaniste, ses lectures et son goût pour l’antique
Des Epigrammata riches d’enseignement (1563)
Un poème pour l’entrée bordelaise de Charles IX (1565)
NICOLAS MARGUES (actif en 1563)
Vers funèbres sur la mort du duc de Guise (1563)
Un satiriste précoce : la Description du monde desguisé (1563)
ANNE DE MARQUETS (1533 – 1588)
De trop rares éléments biographiques
Anne de Marquets, témoin involontaire du colloque de Poissy (1561)
Les relations d’Anne de Marquets avec Claude d’Espence*
Les Divines Poësies de Marcantonio Flaminio (1568) Sur cet ouvrage, voir J. P. Barbier-Mueller, Ma Bibliothèque poétique, IV-4, notice 1, p. 13 sqq.
… et sa série de quarante sonnets « de l’Amour divin »
Le grand’œuvre posthume de la poétesse : les Sonets spirituels (1605)
LOUIS MARTEL (vers 1565 ? – apr. 1598)
NICOLAS MARTIN (v. 1500 – v. 1571/1572)
Une existence encore mal connue
Un unique et rarissime chansonnier : Les Noëlz & Chansons… (1555-1556)
Une réputation bien installée
CHARLES DE MASSAC (1573 – v. 1640)
Le fils d’un médecin réputé
Continuateur et traducteur de l’œuvre paternelle : Les Métamorphoses (1603-1617) …
… et les Fontenes de Pougues (1605)
Vie de famille, dettes et changement de carrière radical
RAYMOND DE MASSAC (v. 1540 – v. 1603)
Un descendant de chevaliers devenu un brillant médecin
Premiers vers : un éloge de la ville d’Orléans (1594)
Une poésie médicale : l’éloge des eaux thermales de Pougues (1597-1605)
Une traduction à quatre mains des Métamorphoses (1603-1617)
ANTOINE MATHÉ DE LAVAL (1550 – 1632)
Une naissance obscure
Une jeunesse courtisane
« Son Isabelle Hollandoise »
Un italianisant passionné
Vie familiale et vie mondaine
L’annus horribilis 1587
L’homme du roi : Laval durant la Ligue
L’entrée royale de 1595 A. Mathé de Laval, Desseins de professions nobles et publiques…, op. cit., ff. 382 ro à 396 ro (« Discours sur l’interpretation des Eloges, Devises, Emblêmes, & Inscriptions de l’Arc trionfal erigé à l’antrée du Roy an sa ville de Moulins le 26. Septembre 1595 »).
Le sage de Moulins
Laval pédagogue
Une fin de vie dans la piété
PIERRE MATTHIEU (1563 – 1621)
Les Matthieu, une famille entre Porrentruy et la Franche-Comté
Un engagement sincère auprès de la Ligue (1587-1594)
Un complet changement d’allégeance et de veine : Matthieu historien
Derniers vers, derniers pamphlets (1607-1617)
Une mort sur les chemins (1621)
MICHEL-PIERRE DE MAULÉON (v. 1533 – 1558)
Le cadet d’une grande famille béarnaise
Mort à Venise : l’assassinat de l’archidiacre de Mauléon et ses suites (1547‑1549)
Amitiés littéraires et entrée au parlement de Toulouse (1549-1555)
Au parlement de Paris, dernières années (1555-1558)
PAUL SCHEDE, dit MELISSUS 1539-1602
Un Rhénan polyglotte
Enfance et débuts prometteurs de Paul Schede Melissus
Premier voyage à Paris, puis séjour à Genève
Melissus poète allemand : les Psaumes
Melissus, poète français
Le voyage d’Italie
Deuxième voyage à Paris. Visite chez la reine d’Angleterre
La problématique date d’anoblissement de Melissus
Le poète et la reine d’Angleterre
ADRIAN MEMETEAU (v. 1535 – v. 1568)
Une figure demeurant mystérieuse, un Poitevin non confirmé
Débuts de carrière comme secrétaire de Lancelot de Carle* (1563-1564) …
… puis passage au service du duc d’Anjou et pleurs sur le connétable de Montmorency (1567-1568)
La mort prématurée et regrettée d’un humaniste (1568)
JEAN MÉOT (actif entre 1559 et 1574)
CLAUDE MERMET (v. 1550 – 1603)
Carrière d’un notaire ducal en Bugey
La Boutique des usuriers, ou la haine de l’agiotage (1574)
Un admirateur du Trissin et sa traduction de La tragédie de Sophonisbe (1584)
Le Temps passé : une morale rabelaisienne (1585) Claude Mermet, Le Temps passé de Claude Mermet, de Sainct Rambert en Savoye, œuvre poëtique, sententieuse & morale, pour donner profitable recreation à toutes gens qui aiment la vertu, Lyon, François Arnoullet, 1585, petit in‑8o.
Mermet, un « farceur » ?
JEAN-PIERRE DE MESMES (v. 1516 – v. 1578 ?)
Un enfant illégitime difficile à placer dans les généalogies
Voyage en Italie et premiers écrits (1548)
Les amitiés de Jean-Pierre de Mesmes au sein de la « Brigade » (1550-1553)
Amitiés et travaux littéraires (1550-1556)
Changement de veine, disparition du poète
PIERRE DE MONCHAULT (v. 1535 – 1581)
Professeur et principal à Troyes
Premières publications : une églogue funèbre pour Charles IX et des poésies chrétiennes
Traducteur d’un livre apocryphe de Virgile
Disparition de Monchault, décadence de son collège
JEAN MONDIN (actif en 1589)
Un personnage aux origines mal définies
Un poète ligueur déterminé
JACQUES MONDOT (v. 1555 – apr. 1609)
Des origines auvergnates, des études parisiennes
Une première publication ambitieuse : Les cinq livres des Odes de Q. Horace Flacce, traduits en vers François (1579) Voir Hugues Vaganay, « Un moine de la Chaise-Dieu, premier traducteur en vers français des Odes d’Horace », dans Les Amitiés, Saint-Étienne, 1933, t. XII, nos. 4-5, p. 245-263 et 318-325.
Vers chrétiens, essais dramaturgiques et carrière ecclésiastique
ANTOINE DE MONTCHRESTIEN (v. 1575 – 1621)
Nom d’emprunt et fausse noblesse
Exilé pour une affaire d’honneur
Un homme d’affaires
Une longue liaison amoureuse, un mariage de courte durée
Un rebelle mort l’épée à la main
Sa première tragédie et les corrections de Malherbe
Une piètre Bergerie Antoine de Montchrestien, Bergerie, s.l.n.n. [Caen, Veuve Jacques Lebas], 1596, petit in‑8o de 22 p.
Le tombeau de Barbe Guiffart (1599) Antoine de Montchrestien, Les derniers propos, avec le tombeau de feu noble dame Barbe Guiffart femme de Messire Claude Groulart Chevalier, Conseiller du Roy en les Conseils d’Estat & Privé, & premier Président en sa court de Parlement de Rouen, Rouen, Raphaël du Petit-Val, 1599, petit in‑4o de 33 p.
Les éditions collectives (1601 et 1604) Les Tragédies de Montchestien ont connu de nombreuses éditions : Les Tragedies de Ant. de Montchrestien, plus une Bergerie et un poëme de Susane, Rouen, Jean Petit, 1601, in‑8o ; Les Tragedies de Ant. de Montchrestien, plus une Bergerie et un poëme de Susane, Rouen, Jean Petit, 1603, in‑8o (réimpression du précédent) ; Les Tragedies d’Anthoine de Montchrestien, sieur de Vasteville, Rouen, Jean Osmont, 1604, in‑12o ; Les Tragedies d’Anthoine de Montchrestien, sieur de Vasteville […] Derniere edition, reveüe et augmentée par l’auteur, Niort, Jacques Vaultier, 1606, in‑12o (copie de l’édition de 1604) ; Les Tragedies d’Anthoine de Montchrestien, sieur de Vasteville, Rouen, Pierre de La Motte, 1627. Elles furent ensuite rééditées par Louis Petit de Julleville, Paris, Plon, Nourrit et Cie, 1891.
« Le premier économiste français »
GEORGETTE DE MONTENAY (v. 1535 – 1607)
Une Normande dans le cercle de Jeanne d’Albret
Les Emblèmes et la collaboration avec Pierre Wœiriot
La carrière éditoriale des Emblemes
Une poétesse calviniste ou « chrétienne » ?
Les autres poèmes de Georgette de Montenay
PIERRE DE FAUCHERAN DE MONTGAILLARD (v. 1565 – av. 1606)
Un obscur Dauphinois
La légende du père éploré
Vie et mort d’un soldat et courtisan
Un unique recueil : Les Œuvres du feu Sieur de Mont-Gaillard (1606)
Une fâcheuse confusion : Montgaillard devient « Montgallant »
BERNARD DE MONTMÉJA (v. 1540 – v. 1573 ?)
Un poète toulousain
La polémique contre Ronsard* Sur ce dossier de la « Querelle des Discours », voir Jean Paul Barbier-Mueller, Bibliographie des discours politiques de Ronsard, Genève, Droz, 19962, p. 53 sqq. Gabriel Buon, imprimeur et distributeur mandaté par Ronsard pour cette publication, ne donna pas moins de huit éditions en un peu plus d’un an ! Il faut y ajouter les « éditions pirates » de Troyes, Lyon, et Toulouse.
Les deux Responses de Montméja à Ronsard* (1563)
Après la première guerre de religion…
Les Poemes chrestiens de B. de Montméja (1574) Pour une description exacte des poèmes de Montméja dans leur première édition de 1574, voir J. P. Barbier-Mueller, Ma Bibliothèque poétique, IV-4, Genève, Droz, 2005, p. 224 sqq.
NICOLAS DE MONTREUX (1561 – 1608)
Une famille de petite noblesse mancelle, des débuts poétiques précoces
Un père proche des « Malcontents », un fils engagé chez les ligueurs
Le choix d’un curieux nom de plume : Ollenix du Mont-sacré
Dans l’entourage du duc de Mercœur : le recueil des Regrets (1591)
La vie au château des ducs de Bretagne
Montreux après la Ligue
L’opus magnum de Montreux : Les Bergeries de Juliette (1585-1596) Pour une bibliographie des Bergeries de Juliette, voir J. P. Barbier-Mueller, op. cit., p. 253.
Une autre « grande machine » : L’Œuvre de Chasteté (1595)
Un auteur prolixe aux inspirations variées
CAMILLE DE MOREL (1547 – apr. 1611)
Naissance et éducation dans une famille humaniste
Un enfant-prodige et son précepteur
Un spectacle contrarié et des premiers vers funèbres (1559-1560)
Le renvoi brutal d’Utenhove* (1561)
Une réputation européenne naissante
Gardienne de la mémoire familiale : le Tombeau de Jean de Morel* (1581)
Les relations de Camille de Morel avec Paul Schede Melissus*
La vieillesse et les dernières années
JEAN DE MOREL (1511 – 1581)
Un gentilhomme dauphinois, un courtisan accompli
Le mécène de la rue Pavée, l’ami des poètes
Une blessure pour un père : la fuite et le destin obscur d’Isaac de Morel
Ami intime et éditeur posthume de Du Bellay*
Un poète trop modeste
Fin de vie dans les ténèbres
CLAUDE DE MORENNE (v. 1550 – 1606)
Jeunesse et études de « C. Demorenne »
Premières œuvres de circonstance : Les Regrets […] du comte de Montgommery (1574)
… et un Tombeau de Charles IX (1574)
Une brillante carrière d’homme d’Église (1577-1587)
Un rôle d’importance dans l’abjuration d’Henri IV (1593)
Un soutien efficace de la cause royale (1594-1595)
Nomination à l’évêché de Séez (1601-1606)
Des vers demeurés longtemps inédits : galanteries et naeniae juvéniles
PHILIPPE DE MORNAY (1549 – 1623)
Un jeune voyageur érudit
Conversion au protestantisme
Rescapé de la Saint-Barthélemy
Menées guerrières et mariage avec Charlotte Arbaleste
Duplessis-Mornay durant la « Guerre des Flandres » Sur la « Guerre des Flandres » en général, ou « Guerre de 80 ans », voir les notices données à Jean de La Gessée* et Christophe Plantin*.
Duplessis-Mornay durant la huitième guerre de religion
Le théologien importun
Le gouverneur de Saumur
Un poète peu prolixe, mais talentueux
PIERRE MOTIN (v. 1566 – 1610)
Des débuts comme poète encomiastique (1584-1590)
De la délicatesse à la gaillardise
Derniers protecteurs, dernières années (1605-1610)
Grossier ou licencieux ?
JACQUES MOYSSON (v. 1535/1540 ? – av. 1574)
Moysson et son prestigieux locataire
Le « forçat de la pièce liminaire » Michel Simonin, Vivre de sa plume au xvie siècle, ou la carrière de François de Belleforest, Genève, Droz, 1992, p. 8.
MARC-ANTOINE MURET 1526 – 1585
Marc-Antoine (de) Muret ?
Une jeunesse agitée
Muret enseigne au collège d’Aquitaine à Bordeaux
Muret, régent au collège d’Auch
Muret à Paris
La fuite en Italie
Le séjour à Venise
De la Sérénissime à Rome
Voyage en France du cardinal de Ferrare : Muret l’accompagne
La carrière romaine de Muret
Disparition du cardinal de Ferrare, que remplace son neveu Louis
Les dernières années
NICOLAS DE NANCEL (1539 – 1610/1611)
PIERRE DE NANCEL (1570 – v. 1641)
Des débuts littéraires bien timides
Le surgissement d’un tragédien
Un chantre de la monarchie
Derniers vers
NICOLAS NATEY DE LA FONTAINE (actif entre 1563 et 1571)
Un obscur avocat parisien ?
Un travail d’historien-poète : l’origine des guerres entre Français et Anglais (1563)
Une entrée royale décrite comme un triomphe de l’Antiquité (1571)
CHARLES DE NAVIÈRES (1543 – 1616)
Un gentilhomme sédanais et ses poésies de jeunesse
Fin rapide d’une carrière de courtisan
Installation à Paris
Abjuration et mort dans la misère
ANTOINE DE NERVÈZE (v. 1558 – apr. 1622)
Nervèze, ce faux inconnu : quelques précisions sur ses origines
Les Essais poëtiques : le fruit d’un larcin ?
Une carrière dans l’entourage des Grands
Le rejet de l’autorité malherbienne
Nervèze prosateur
PIERRE NEVELET (v. 1551/1555 ? – v. 1610)
Un grand bourgeois de Troyes
Une famille divisée par la Foi
Les débuts d’un juriste poète
Départ en exil
Le séjour bâlois
Retour en France, et dernières années
Descendance
MILES DE NORRY (v. 1532 – 1588 ?)
Un gentilhomme chartrain ?
Professeur à Lyon, un premier livre sur L’Arithmetique (1567-1574)
Un traité de cosmogonie poétique : Les Quatre Premiers livres de l’Univers (1583) L’ouvrage est, très curieusement, un grand absent de l’étude d’Albert-Marie Schmidt, La Poésie scientifique en France au seizième siècle (1938).
Derniers écrits scientifiques et poétiques (1586-1588)
Une disparition brutale (1588) ?
MICHEL DE NOSTREDAME / NOSTRADAMUS (1503 – 1566)
Les Nostredame : une famille de « nouveaux Chrétiens »
Prophète ou devin ?
Un livre presque aussi célèbre que la Bible : les Propheties ou Centuries (1555)
Descendants et imitateurs
Un aperçu bibliographique
CÉSAR DE NOSTREDAME (1553 – 1629)
Le fils aux multiples talents d’un célébrissime astrologue et prophète
Nostredame à la cour du gouverneur de Provence
L’amitié entre Nostredame et Malherbe*, son influence
Un historien amoureux de sa province natale
La première pièce parue d’une trilogie de la Passion : Les Perles ou Larmes de la Madeleine (1601)
Deuxième pièce publiée de la Trilogie de la Passion : Dymas, ou le Bon Larron… (1606)
Troisième pièce publiée de la Trilogie de la Passion : La Marie dolente (1606)
Le Songe de Scipion (1606)
Les Vers funèbres sur la mort de Charles du Verdier et les Rimes spirituelles (1607-1608)
Les dernières années d’un gentilhomme écrivain
CLAUDE-ÉTIENNE NOUVELET (v. 1544 – 1613)
Un moine bénédictin savoyard, amoureux transi des Muses
Premiers vers pour un défunt : le Chant funebre sur le trespas de […] Jan de Voyer (1571)
Apologie pour un massacre : L’Ode trionfale au Roy (1572)
Une importante source autobiographique : Les Divinailles (1578)
Études théologiques et derniers vers (1585-1597)
Une fin de vie dans les difficultés pécuniaires (1596-1613)
CLAUDE ODDE DE TRIORS (v. 1545 – v. 1580)
Un « Gentil-homme Dauphinoys »
Études et séjour à Toulouse (v. 1572-1578)
Une première œuvre inscrite dans les polémiques religieuses (1572)
Un adepte de la poésie gnomique, sa traduction de Michel Verin (1577)
Un ouvrage capital pour la langue occitane : Les joyeuses recherches de la langue tolosaine (1578)
GABRIEL ODDE DE TRIORS (v. 1542 – entre 1585 et 1595)
L’héritier d’une vieille famille dauphinoise
Un vaillant capitaine réformé
Un rimeur discret
Une fin de vie prématurée
DIDIER ORIET (v. 1535/1540 – apr. 1586)
Dérogation de noblesse
Une œuvre poétique rare, inspirée par Du Bartas* et la Bible (1581-1586)
PIERRE D’ORIGNY (1497/1537 – 1587)
Un gentilhomme rethélois protestant
Premières armes poétiques : Le Temple de Mars tout-puissant (1559)
Le parangon des gentilshommes, ou Le Hérault de la Noblesse de France (1578) Réimprimé dans Revue nobiliaire, héraldique et biographique, t. X, nouvelle série, Paris, 1875, p. 321-356.
Un exil tardif à Sedan ?
GUY PAGEAU (actif en 1584)
MARGARIT PAGEAU (actif entre 1594 et 1600)
Un obscur fonctionnaire vendômois ?
Une œuvre tragique : Bysathie et Monime (1600)
JEAN PALERNE (1557 – 1592)
Un membre de la bonne bourgeoisie forézienne
Secrétaire de François de Valois (1576-1579)
Les amours parisiennes de Palerne
Voyage et aventures au Proche-Orient : les Peregrinations de Palerne (1581-1583)
Un long séjour lyonnais, une charge prestigieuse à Orléans (1583-1587)
Palerne et la Ligue, une mort prématurée (1587-1592)
Le « manuscrit Palerne »
CLAUDE PALLIOT (v. 1550 ? – apr. 1605)
Un Parisien aux origines obscures
Méchant poète et devin maladroit : des débuts hasardeux (1573-1581)
Cascades de pleurs pour le dernier Valois (1589-1590)
Le retour et la célébration de la paix (1598)
Sous le règne d’Henri IV
MARC (DE) PAPILLON DE LASPHRISE (v. 1555 – v. 1600)
Le scion d’une famille noble angevine
Une longue carrière militaire
Des amours nombreuses et tumultueuses
Une poésie originale
NICOLAS PAPILLON (v. 1555 ? – apr. 1599)
Une famille rouennaise en vue, un poète remarqué
Un faiseur de vers funèbres : les deux tombeaux de 1586
L’un des organisateurs de l’entrée royale d’Henri IV (1596)
LOYS PAPON (1539/1540 – 1599)
Les Papon, une famille ambitieuse
Jean Papon, lieutenant-général pour le roi en Forez (1544-1585)
Loys Papon : des débuts prometteurs, ses premiers essais poétiques La première biographie de Loys Papon fut donc donnée par François-Régis de Chantelauze (sous le pseudonyme de Guy de La Grye) en tête de la réédition des Œuvres du poète (Lyon, Louis Perrin, 1857). Cette Vie de Loys Papon fut rééditée au sein des Portraits d’auteurs foréziens du même La Grye (Lyon, Brun, 1862).
Le Traicté des Causes du Ris (1560)
Un chanoine-rimaillant ou un poète-chanoine ?
Le « chef-d’œuvre » de Loys Papon : Le Discours à Mademoiselle Panfile
Les Papon : des ligueurs dans le sillage des Urfé
Un éloge de Guise : La Pastorelle sur la victoire obtenue contre les Allemands Reystres (1588)
Les condoléances de Papon à la « reine blanche », l’évolution d’un ligueur (1590-1594)
Les dernières productions de Papon
Fin d’un chanoine (1596)
JEAN DE PARDAILLAN (v. 1530 – v. 1567 ?)
Une éminente et ancienne famille du Sud-Ouest
Un cadet de famille promis à l’Église
Débuts de carrière : séjour romain, travaux et amitiés littéraires (1554-1556)
Retour en France : du protonotaire poète à l’abbé commendataire (1557-1567)
ÉTIENNE PASQUIER (1529 – 1615)
Un grand bourgeois parisien
Les études de Pasquier. La confusion avec « l’autre » Pasquier
Les débuts d’un poète : Le Monophile et Les Rymes et Proses
Pasquier en famille
Les premières « Lettres de Pasquier »
La notoriété de Pasquier
Le procès entre l’Université de Paris et les jésuites
L’affaire Arconville
Démangeaisons littéraires
L’épistolier : missives réelles et chroniques déguisées en lettres
Au temps de la Ligue
Pasquier et Montaigne
L’opus magnum : les Recherches de la France
JEAN PASSERAT (1534 – 1602)
De la mine de fer à l’université : une jeunesse mouvementée
Passerat à Paris… Première publication !
Passerat enseigne au collège de Boncourt
Passerat hébergé par Henry de Mesmes
Nihil… Notre exemplaire du Nihil, donné par Estienne Prevosteau en 1597, est bien formé des pièces annoncées au titre : d’abord le Nihil en un f. ro-vo, puis : Nemo (titre exact : Theodori Marcilii Lusus de Nemine, Parisiis, Ex Typographia Steph. Prevosteau, s.d., 8 p ; Aliquid (titre exact : Januaria sive Aliquid pro strenis ad Molinenses [par Philippe Girard, selon Arbour, 1977, I, p. 303], Parisiis, Ex typographia Steph. Prevosteau, 1597, 8 p. et à la fin « Canebat P.G.P.Classicus Molinensis ») ; Quelque chose (titre exact : Quelque chose, A Monsieur de Guillon, chevalier, sieur des Essars, etc., À Paris, chez Estienne Prevosteau, s.d. (la pagination suit celle de la plaquette précédente) ; TOUT AU TOUT PUISSANT [titre de relais p. (21)] Fin à la p. 32 ; Le Moyen. /simple titre de départ au haut de la p. 1, 8 p. ; SI PEU QUE RIEN. De nouveau, simple titre de départ. 10 p. ; ON (titre de départ sous un large bandeau à la p. 11), fin à la p. 16 ; sous un bandeau typographique : IL (titre de départ, p. 17). Fin à la p. 20 et fin des ouvrages annoncés au titre du NIHIL. À la suite de ce recueil factice est relié. 1° Le Bonjour de R. de B. en reponce aux Nihil, Nemo, Quelquechose, Tout, Le Moyen, Si peu que rien, On, Il, À Paris, chez Estienne Prevosteau, 1599. 12 p. 2° Rien à Henry de Mesmes pour Estraine, Traduict du Latin de Jean Passerat en François, Quelque Chose, Tout, À Paris chez Estienne Prevosteau, s.d. 6 p. plus un f. d’avis au Lecteur. 3° À l’époque, le propriétaire de l’ouvrage a fait relier tout à la fin une plaquette d’un autre genre, de format A4, ce qui a rendu obligatoire un pliage des f. Le titre est Puero Jesu Praesipium Silva. Et SS. Innocentibus pueris Επινίκια. Theodori Marcilii, Parisiis, e Typographio Steph. Prevosteau, 1599, 8 p.
Passerat participe à la rédaction de la Satyre Menippée
La mort. L’œuvre
PIERRE PAUL (1554 – v. 1615)
Un descendant de « nouveau Chrétien »
L’initiateur de la typographie marseillaise et sa Barbouillado (1595)
Une fin de vie paisible
JACQUES PELETIER (1517 – 1582)
Les jeunes années
« Faire valoir nostre langue Françoyse »
Peletier à Paris
De la médecine à l’arithmétique
Le séjour à Lyon
L’Art poëtique de 1555
Louise Labé* et L’Amour des Amours
Le retour à Paris
Le séjour en Savoie
Le long séjour à Bordeaux
Le retour à Paris
CLAUDE PELLEJAY (1542 – 1613)
Un modeste rimeur poitevin
Sincero, ou l’amoureux transi de Catherine des Roches* (1570-1578)
Une fin de vie tranquille, entre honneurs officiels, amitiés littéraires et confortable aisance
LUC PERCHERON (v. 1572 – 1645)
Un modeste juriste manceau
Une tragédie de jeunesse demeurée inédite : Pyrrhe (1592)
JACQUES DE PERRACHE (v. 1560 ? – 1654 ?)
Un petit gentilhomme et capitaine provençal Sur la famille de Perrache et ses « preuves de noblesse », voir surtout Scipion du Roure, Les maintenues de noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669), Bergerac, Imprimerie générale du Sud-Ouest, 1923, t. II, p. 473.
À la cour du chevalier d’Angoulême : Le Triomphe du Berlan (1585-1587)
FRANÇOIS PERRIN (v. 1533 – 1606)
Les ambitions déçues d’un jeune Autunois
Un premier recueil : le Pourtrait de la vie humaine, ou Trois centuries de sonnets (1574)
Une poésie politique modérée : l’Imploration de la Paix (1576)
Charges et responsabilités : Perrin chanoine d’Autun A. de Charmasse, op. cit., p. 40-42, avec toutes les références.
Une tentative ratée de poésie gnomique : les Cent et quatre quatraines de quatrains (1587) Id., p. 100-117.
Le déferlement des reîtres allemands en 1587
Perrin dramaturge : la tragédie Sichem et la comédie Les Escoliers (1589)
La dernière œuvre poétique de Perrin : l’Histoire tragique de Sennacherib (1599)
Dernières années, derniers travaux
FRANÇOIS PERROT (1526 – av. 1612)
Le descendant d’une famille importante de la robe parisienne
Les péripéties d’un long séjour italien : abandon du droit, choix des belles-lettres
Vie de famille et voyages entre Genève, Paris, la Lorraine et l’Italie
La traduction des Psaumes en italien : une publication par étapes (1576-1581)
Installation à Sedan
Un réformé de haute réputation
PAUL PERROT (1566 – av. 1624)
Une importante famille de la robe parisienne : les Perrot
Études à Oxford, puis premières publications en Allemagne, Hollande et France
La Gigantomachie, ou combat universel de touts les Arts & Sciences (1593) Roméo Arbour, L’Ere baroque en France – Répertoire chronologique des éditions de textes littéraires. Première partie : 1585-1615, Genève, Droz, 1977, t. I, p. 194, no 1546.
Une seconde publication allemande : les Tableaus sacrez de Paul Perrot (1594)
Retour en France, publication à Tours : Les Proverbes de Salomon (1594)
Le Contr’empire des Sciences (1599) Sur ce texte, se référer surtout à l’étude d’Evelyne Berriot-Salvadore, « Le Contr’Empire poétique de Paul Perrot de La Sale », art. cit.
Vie de famille, dernières années et descendance Une bonne partie des renseignements concernant cette période de la vie de Paul Perrot a été extraite par les biographes de La vie de M. d’Ablancourt, d’Olivier Patru, publiée en 1692.
SIEUR DU PETIT-BOIS (actif en 1576 – 1577)
Un énigmatique gentilhomme poitevin
Premiers vers bucoliques : Le Premier Chant pastoral ou La Doree (1576)
Aux frontières de la poésie gnomique et de la satire : le Discours satyric de la Mort (1577)
VASQUIN PHILIEUL (1522 – v. 1582/1585)
Un chanoine de bonne famille
Traduire Pétrarque : une entreprise déjà ancienne, mais demeurée incomplète
Une traduction en deux étapes (1548 et 1555)
Les œuvres diverses de Vasquin Philieul : traité juridique et traductions de l’italien (1558-1565)
GUY DU FAUR, SEIGNEUR DE PIBRAC (1529 – 1584)
Les Du Faur, une famille d’ancienne noblesse de Bigorre
Enfance et adolescence
Guy du Faur devient seigneur de Pibrac
La dure fin du règne de Henri II
Le Concile de Trente : Pibrac ambassadeur
Pibrac à Paris : une promotion prestigieuse, un talent d’orateur discuté
Pibrac justifie la Saint-Barthélemy
Pibrac en Pologne
Pibrac, chancelier de la reine Marguerite
Pibrac, chancelier de Marguerite de Valois
Marguerite disgracie Pibrac
Pibrac, chancelier du duc d’Anjou. Ils meurent tous deux en 1584
Pibrac poète, auteur de quatrains moraux
Les sonnets de Pibrac
Diverses poésies
Les Plaisirs de la Vie Rustique
Pibrac, grand organisateur de l’Académie du Palais
Disparition d’un honnête homme
MATHURIN PIGNERON (v. 1535 – v. 1607 ?)
Un bourgeois et marchand de drap parisien…
… devenu colonel de la milice
Un farouche ligueur
Amitiés littéraires…
… et œuvres poétiques
JACQUES DE PINCÉ (v. 1555 – 1598)
Une ancienne famille angevine
Une modeste carrière d’avocat et magistrat parisien
Participation aux jeux poétiques des Grands Jours de Poitiers (1579-1583)
PIERRE DE PINCÉ (v. 1550 – 1610)
Un gentilhomme angevin
Une carrière parisienne
Une œuvre poétique en grande partie disparue
RENÉ DE PINCÉ (1560 – 1617)
Un brillant jeune « Gentilhomme Angevin » F. Grudé de La Croix du Maine, Bibliothèques françoises de La Croix du Maine et de Du Verdier, Paris, Saillant, Nyon et Lambert, 1772, t. II, p. 370.
Grandeur et décadence d’un haut magistrat
Poète et ami de poètes
PIERRE PINETON DE CHAMBRUN (v. 1555 – v. 1628)
Une famille de la Marche passée à la Réforme
Un médecin devenu conseiller et officier royal
Une œuvre poétique de jeunesse : La Théodorée, éloge passionné de l’art médical (1583)
Une carrière de poète encomiastique (1601-1614)
JEAN DE PIOCHET (1532 – 1624)
Un noble savoyard Roger Devos et Pierre Le Blanc de Cernex, « Un humaniste chambérien au xvie siècle. Jehan de Piochet de Salins, d’après ses livres de raison », dans Vie quotidienne en Savoie – Actes du VIIe Congrès des sociétés savantes de Savoie, Conflans, 1976, p. 209 sqq., et Nicolas Ducimetière, Mignonne, allons voir… – Fleurons de la bibliothèque poétique Barbier-Mueller, Paris, Hazan, 2007, p. 71-75, où toutes réf.
Piochet bibliomane et ronsardophile
Un lecteur à l’œuvre : Piochet annotateur de Ronsard* Voir J. P. Barbier-Mueller, op. cit., t. II, p. 326 et 331 sqq., ainsi que N. Ducimetière, op. cit., p. 74-75.
Dans l’ombre des grands : les modestes essais rimés de Piochet
CHRISTOPHE PLANTIN (entre 1514 et 1520 – 1589)
Les jeunes et difficiles années
Les débuts à Anvers
Les débuts de l’imprimerie plantinienne
Les Pays-Bas en flammes : la Guerre de Quatre-Vingt-Ans (1568-1648)
Soupçons d’hérésie… La « Famille de la Charité »
La « Bible royale », grand-œuvre de Plantin
L’exclusivité de la production des livres liturgiques : une aubaine
Le Thesaurus Theutonicae Linguae de 1573
Le séjour de Plantin à Leyde. Retour à Anvers. Sa mort
Les filles de Plantin, et ses gendres
Plantin poète Deux éditions des vers de Christophe Plantin ont été fournies : Les Rimes de Christophe Plantin, éd. Max Rooses, Lisbonne, Imprimerie nationale, 1890 et Les Rimes de Christophe Plantin, 2e éd. augmentée, éd. Maurice Sabbe, Anvers, Publication du Musée Plantin-Moretus, 1921.
JACQUES POILLE (v. 1563 – 1623)
Un garçon de bonne famille poitevine…
… au père déshonoré et condamné
Magistrat ligueur, puis repenti
Un poète rare, un recueil tardif et peut-être posthume : Les Œuvres de Jacques Poille (1623)
Vie de famille, mort et postérité
SIMON PONCET (v. 1560 – entre 1594 et 1600)
Des origines melunoises, des parents fort lettrés
Un mystérieux début de carrière (1585-1587)
Au service du chevalier d’Aumale (1588-1591)
Une amitié avec Siméon-Guillaume de La Roque*
Dernière manifestation éditoriale
ALEXANDRE DE PONT-AIMERY (v. 1565 ? – av. 1600)
Un Dauphinois incertain, un protestant convaincu
Première publication : La Cité de Montelimar (1591)
1594, ou la grande année : cinq publications en un an
Un engagement politique encore renforcé : les Discours d’Etat et leur polémique (1595)
Dernières œuvres et disparition brutale
CLAUDE DE PONTOUX (v. 1540 – v. 1578)
Une honorable famille chalonnaise
Un médecin amoureux et voyageur
Premières publications, premiers vers : des discours politiques militants (1569-1570)
Changement de veine : paraphrases bibliques, vers encomiastiques, puis amoureux (1570-1576)
Une disparition précoce, un recueil posthume : Les Œuvres (1579)
HONORÉ DE LAUGIER DE PORCHÈRES (1572 – 1653)
Un prétendu hobereau provençal
Premiers vers, l’amitié avec Sponde* (1594-1599)
Laugier au sein des recueils collectifs du xviie siècle, son séjour en Piémont
Prochères poète de cour pensionné, ses publications encomiastiques
Consécration et rivalité : Laugier à l’Académie (1634-1653)
PIERRE POUPO (v. 1552 – v. 1593)
Enfance et jeunesse de Poupo
Goulart édite Poupo Sur les rapports de Poupo avec Goulart*, voir Jean Paul Barbier-Mueller, « Trois poètes réformés à Genève : Goulart, Poupo et Du Chesne », dans Olivier Pot (dir.), Simon Goulart, un pasteur aux intérêts vastes comme le monde, Actes du colloque international de Genève (2005), Genève, Droz, 2013.
Poupo dans la cité de Calvin
Genève fait grise mine à Poupo
La « Guerre de Genève »
Fin obscure de Poupo
L’inspiration janiforme de Poupo
JACQUES PRÉVOSTEAU (v. 1548 – v. 1572)
Premiers vers en hommage à un grand professeur (1565)
Amitié et vers avec François d’Amboise* (1568)
Chantre de la monarchie lors de l’entrée de Charles IX (1571)
Une fin prématurée (1572)
ROBERT PROCUREUR DE HAUPORT (v. 1574 – 1622)
Un bourgeois et échevin flamand
Un poème de la Contre-Réforme : La Victoire miraculeuse obtenue contre un Juif (1596)
Publications ultérieures et pièces éparses
INDEX NOMINUM réalisé par Lays Farra
TABLE DES MATIÈRES
≡
Dictionnaire des poètes français de la s…
Vous n'avez pas accès à lecture de cet ouvrage
❯
❮
Pour citer ce chapitre :
Barbier-Mueller, Jean Paul.
Chap. « Page de titre () » in Dictionnaire des poètes français de la seconde moitié du XVIe siècle (1549-1615). Tome V : M-P.
Ed. Nicolas Ducimetière, Marine Molins et Lays Farra.
Genève: Librairie Droz, 2023
9782600064224
Pour citer un extrait :
Les numéros de pages de la version papier ont été insérés en petits caratères gris au fil du texte et les numéros de notes conservés à l'identique.
Ce contenu numérique peut donc être cité de la même manière que sa version papier.
PDF généré dans le cadre de la licence nationale Istex, depuis le XML-TEI des portails Droz
La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée
que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des
conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction
ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit,
est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la
législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données
est également interdit
Travaux d’Humanisme et Renaissance
646
Jean Paul Barbier-Mueller
Dictionnaire des poètes français de la seconde moitié du
XVI
e
siècle (1549-1615)
M-P
Avec la collaboration de Nicolas DUCIMETIÈRE et la participation de Marine MOLINS
LIBRAIRIE DROZ
11, rue Massot
GENÈVE
2023
Enregistrer la citation
Ajouter une note
Signaler une coquille
Ajouter une note
L'enregistrement à été ajouté à votre page de citations
La coquille à bien été signalée à l'éditeur. Merci !